1. LA PHRASE
VERBALE
On appelle phrase verbale une phrase qui s'organise
autour d'un verbe. On appelle ce verbe le noyau de la phrase.
Exemple :
Il a neigé aujourd'hui.
Une phrase verbale peut comporter plusieurs noyaux verbaux.
Exemple :
Il a neigé aujourd'hui, mais la météo annonce qu'il fera beau demain.
Exemple :
Il a neigé aujourd'hui.
Une phrase verbale peut comporter plusieurs noyaux verbaux.
Exemple :
Il a neigé aujourd'hui, mais la météo annonce qu'il fera beau demain.
1. LA PHRASE NON -
VERBALE
NOTEZ:
Puis que la phrase non-verbale est une phrase
à construction particulière qui est généralement réduite à un groupe de mots
dont le noyau (le mot le plus important du groupe) est autre chose qu'un
verbe. Son noyau peut être de différentes natures. Alor la phrase
sera:
• Nominale ( Son noyau sera un un nom)
Exemple :
Inondations terribles en Bretagne.
• Adverbial ( Son noyau sera un un adverbe)
Exemple :
Vraiment ? Non !
• Adjetivale (Son noyau sera un un adjetif)
• Nominale ( Son noyau sera un un nom)
Exemple :
Inondations terribles en Bretagne.
• Adverbial ( Son noyau sera un un adverbe)
Exemple :
Vraiment ? Non !
• Adjetivale (Son noyau sera un un adjetif)
Exemple :
Impossible de croire une chose pareille !
Impossible de croire une chose pareille !
Au verbe-noyau de la
phrase simple, se rattachent :
- Et, un complément d’objet (COD, COI) ou un attribut du sujet.
EXAMPLES:
- Nous nous promenons souvent dans cette forêt. (Verbe "promener" au présent)
- As-tu fini tes exercices de maths ? (Verbe "finir" au passé composé)
SUJET VERB COMPLÉMENT
Il existe trois
types de propositions :
- la proposition indépendante ne dépend d’aucune proposition et aucune proposition ne dépend d’elle.
Enkidou s’épuise très vite. Sa blessure le fait souffrir.
-
La proposition subordonnée dépend d’une proposition
principale
Elle est introduite par un mot subordonnant (pronom relatif, conjonction de subordination…).
Elle est introduite par un mot subordonnant (pronom relatif, conjonction de subordination…).
Enkidou s’épuise très vite parce que sa blessure le
fait souffrir.
2.3. Il existe trois types de liens entre les propositions :
- Juxtaposition. Les propositions sont reliées par un signe de ponctuation :
virgule, point-virgule, deux points.
Enkidou s’épuise très vite : sa blessure le fait
souffrir.
-
Coordination. Les
propositions sont reliées par un mot
coordonnant :
conjonction de coordination (mais, ou, et, donc, or, ni, car)
ou adverbe (alors, puis, ensuite, cependant, enfin…).
conjonction de coordination (mais, ou, et, donc, or, ni, car)
ou adverbe (alors, puis, ensuite, cependant, enfin…).
Enkidou s’épuise très vite car sa blessure
le fait souffrir.
-
Subordination. Les
propositions sont reliées par un mot
subordonnant :
pronom relatif (qui, que, quoi, dont, où, lequel…)
conjonction de subordination (que, quand, parce que, lorsque, si bien que…), etc.
pronom relatif (qui, que, quoi, dont, où, lequel…)
conjonction de subordination (que, quand, parce que, lorsque, si bien que…), etc.
Enkidou s’épuise très vite parce que sa
blessure le fait souffrir.
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